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Bonjour.
Vous cherchez des renseignements sur le 8e Zouaves, vous êtes un ancien Zouave ou avez-vous peut-être des parents qui ont été dans le 8e Zouaves. merci de me contacter à cette adresse :
8zouaves14.62@gmail.com

mercredi 4 septembre 2013

Théâtre Sébastopol (camp de Mourmelon)

Quelques photos du Théâtre Sébastopol situé sur le camp de Mourmelon

 
 
L'extérieur
 
 
La Scène


 
 
Les Zouaves sur Scène
 
 
 
Affiche de Juin 1938
 
 

mardi 3 septembre 2013

Sergent-Chef COLLEE Germain (suite)

Le fils du Sergent chef COLLEE m'a offert le magnifique uniforme de son père
 

 
 
 



Sergent-Chef COLLEE germain

 
  le 27 octobre 1912 à Goumois (Doubs)
Fils de Louis Collée et berthe Garnier
Marié le 11 février 1936 à Paulette Arbinet
Affecté le 15 /10/1933 au 27ème RI, nommé caporal à/c du 1/04/1934, nommé caporal chef le 16/04/1934.
Rengagé pour 1 an le 12/10/1934
Arrivé au 8ème Zouaves le 14/10/1934, Affecté au 2ème bataillon/7e Cie, Affecté au 3ème bataillon, 11e Cie  à/c du 16/04/1935
Nommé sergent à/c du 16/04/1935. Rengagé pour 1 an à Mourmelon le 4/10/1935, 15/10/1936, 25/06/1937.
Aux armées 8ème Zouaves le 2/09/1939, nommé sergent chef à /c 1/03/1940. Blessé par balle le 18/05/1940 .
Fait prisonnier , En captivité au stalag VII A le 22 mai 1940
Rapatrié le 13/05/1945 à Dijon
Nommé adjudant le 6/03/1946, adjudant chef le 31/12/1946 par avancement pour prisonnier de guerre.Rayer des cadres en 1949

lundi 2 septembre 2013

Historique du 8è Zouaves (1959-1962)


Le 8ème Zouaves en Algérie  (1959-1962)


Le bataillon est dissous début 1959 à  Rabat (Maroc). Il est recréé le 1er juin 1959 en Oranie (Algérie), à partir du 3e Bataillon du 21ème RI. Au Télagh.

Il est commandé par le chef de bataillon CALVE Gérard, puis du lieutenant-colonel LIBEROS jean (décembre 1959-novembre 1960) et enfin par le  lieutenant-colonel BILLARD Lucien (1960-1962).

Il participera à la guerre d'Algérie en combattant à ces dates

·         9 juin au 26 septembre 1959
·         4 janvier au 27 juin 1960
·         13 juillet 1960 au 19 mars 1962

Il a formé le Commando 295 en Algérie. Il est dissous le 1er octobre 1962.

Implantation des unités du 8ème Zouaves : 1961-1962


·         PC : le Telagh
·         1ère Cie : Slissen
·         2e Cie : Bossuet
·         3e Cie : Zegla
·         4e Cie : Bedeau
·         Détachements à Titen-Yahia, sidi-Chaib, Amelza
·         Le commando 295 était stationné à Aïn ben soltane,





P.C et Compagnie de Service au Telagh



Lettre du Chef de Bataillon CALVE, daté de Mai 1959, au président de l’Amicale Henri PAULE




C’est à partir du 1er juin 1959, 0 heure, que mon actuel bataillon, le III/21e R.I deviendra le 8è Bataillon de Zouaves. Tous les officiers, sous-officiers et hommes de troupe sont très sensibles à l’honneur qui échoit au bataillon d’avoir été choisi pour rependre les traditions du glorieux 8ème Zouaves et tous, sachant que cet honneur implique également des devoirs, s’emploieront à se montrer dignes de leurs anciens.


Le très prochain 8e Bataillon de zouaves conserve sensiblement l’implantation de l’actuel III/21e R.I dans la zone Centre Oranais… le Bataillon comprend une compagnie de Commandement d’appui et des services cantonnés à SLISSEN, et 4 compagnies de combat cantonnés respectivement à la maison forestière de SLISSEN (4 km sud-ouest de SLISSEN ) à MAGENTA, à SIDI-SALEM (6 km sud-ouest de MAGENTA) et à EL-GOR. En outre, le bataillon tient le quartier de SLISSEN, qui fait partie du secteur de TELAGH  et à pour missions essentielles de mener à bien les diverses et multiples tâches de pacification tout en achevant la destruction des dernières bandes rebelles.


Le 8e Zouaves, reconstitué à partir d’un bataillon présent en Algérie depuis près de trois ans, va profiter au départ de l’expérience  acquise par tous ses cadres ; à cette expérience va s’ajouter le prestige de représenter et de poursuivre la destinée de l’un des plus glorieux régiments de notre armée. Il est donc permis de bien augurer de l’avenir.


A partir de demain, mon bataillon va porter le nom de 8e Zouaves, mais le nom ne suffit pas lorsqu’il s’agit d’un corps ayant un tel passé. Aussi M le président, je me permets de faire appel à votre aide et de vous demander votre appui.


Avant tout, je vous demande de me faire parvenir un historique du 8è zouaves et de m’indiquer les divers documents qui parlent de lui.


J’espère aussi que mon bataillon aura l’honneur de garder en dépôt le drapeau du 8e Zouaves. Si ce souhait se réalise, je vous en ferai part aussitôt pour que nous puissions, ensemble, organiser une cérémonie à Paris.






© Varin Marcel




Historique du 8è Zouaves (1945-1959)

Le 8ème Bataillon de Zouaves au Maroc (1945-1959)

1945à 1959 (Maroc : Oujda, El-Haged, Rabat, Ouezzane)

 

La résistance de l’intersection Est des Côtes du nord avait été bien organisée. Elle fut divisée en bataillon. Les 6e, 7e et le 9e bataillon des F.F.I.
 

« Le 7e Bataillon F.F.I    des Cotes du Nord formé à Dinan, le 1er septembre 1944, devenu  20è B.M.T.N.A en garnison à Saint-Brieuc (caserne Charrier), transféré à Quintin le 1er février 1945, sous les ordres du commandant Herve (Constant Heurtier), devint par la suite le 1/ 8ème Zouaves »
 

Le camp jacques-Rose, d’Oujda, n’a pas été la première garnison marocaine du 8ème Zouaves, mais le camp Boulhaut que le bataillon a quitté en septembre 1945, pour Oujda. Il est revenu au camp Boulhaut en décembre 1945 et a effectivement rejoint le camp Garnier à Rabat en avril 1946 où il devenait le bataillon d’honneur (garde blanche) du résidant général.

Le 1er février 1945, par DM n° 1331 EMGG/1 du 4 avril 1945,  le 8ème Zouaves est reconstitué à deux bataillons destiné à l’Afrique du Nord. Le 1er/8e zouaves est créé le 1er avril 1945, à Quintin, dans les côtes du nord sous les ordres du chef de bataillon HEURTIER. Le 24 février 1945, il est à Coëtquidan, le 17 mai il est envoyé au Maroc, à Oujda, pour le maintien de l’ordre, la population marocaine commençant à bouger.

Le 1er octobre 1945, le chef de bataillon Galabru, en décembre 1945, le chef de bataillon Boulhaut et le 1er février 1946 le chef de bataillon RIBILLARD sont les chefs de Corps successifs de cette unité.
Le 2ème Bataillon, à Arles, sous les ordres du capitaine VIAL puis à compter du 1er Mai, du chef de corps Henry  PAUL,  à l’aide du bataillon de la sécurité de la 15è Région Militaire.


Il débarque à Oran au mois de Mai 1945 et s’installe à Eckmuhl, le 16 juin à Arzew, le 9 septembre à Chanzy, le 10 octobre 1945 à Oran. Le 1er bataillon étant dirigé sur le camp Boulhaut, le 2e bataillon restant à Oran.



 En Juillet 1945, le 1er bataillon fait mouvement sur Oudja, ou il reste en garnison jusqu’en décembre, époque à laquelle il retourne au camp Boulhaut. Au mois de février 1946, le 2ème bataillon est dissous, le 1er bataillon devient unité de tradition du 8ème Zouaves et prend la dénomination de 8ème bataillon de Zouaves à compter du 1er Avril.

Il est dirigé le 15 juin 1946 sur sa garnison définitive de Rabat. Le 16 Novembre 1946, le régiment est reconstitué sous la forme d’une demi-brigade à deux bataillons. L’Etat Major de la 8ème ½ Brigade se constitue à Rabat, le 2ème Bataillon est mis sur pied à El-Hajeb, qui devient sa garnison définitive.

 

Chef de Bataillon GIROULT, commandant le 1er bataillon de la 8e ½ brigade de zouaves

Le chef de bataillon CARBUCCIA a remplacé, le 16 juin 1946, le chef de bataillon RIBILLARD

La 8ème ½ brigade reconstitué officiellement le 16 novembre 1946 sous les ordres du  Colonel LEBRUN robert, qui en garde le commandement jusqu'à sa dissolution  (P.C Rabat), le 21 mars 1949

2 bataillons formant corps ;

1er bataillon, Chef de bataillon Giroult (P.C Rabat)

2ème Bataillon, Chef de bataillon Pommier Albert (P.C El Hajeb, 30 km de Meknès) (commandeur de la légion d’honneur)

L’effectif de chaque bataillon oscille entre 650 et 700 hommes.

A cette date le 8e bataillon de zouaves est récréé sous les ordres du chef de bataillon RUFFEY jean, à Ouezzane (Maroc). La 2ème cie détachée à Souk el arba du Gharb jusqu’au 30 novembre 1954.

Le Commandant De La Brosse succéda au commandant Giroult.

 Les chefs de Corps ont été ensuite

De 1952 à 1953 : chef de bataillon BOURNIQUEL
De 1954 à 1957 : Lieutenant-colonel GOBILLOT
De 1957 à 1958 : chef de bataillon BONAMY Georges
De 1958 à 1959 : chef de bataillon LACOSTE robert

Le bataillon est dissous le 31 janvier 1959 à  Rabat.


 
FLAMAND  Roland
Né le 9 janvier 1937 à Fouchécourt (70)
Appelé le 15 mars 1957 à Rabat
Compagnie : 1ère section commando 295
Grade : Caporal le 1 mai 1958


 
 
 
© Flamand Roland

jeudi 29 août 2013

Historique du 8è Zouaves (1934-1940)

Le 1re Octobre 1934, le 8è Régiment de Zouaves est reconstitué au Camp de Mourmelon dans la Marne, à partir du bataillon détaché du 106è R.I de Chalons Sur Marne et d'appelés pour y tenir garnison permanente.

Le colonel Dame prendra une grande part dans la reconstitution du 8e Zouaves, 2 bataillons sont consttitué en 1934, le 3e bataillon y sera en 1935 avec comme chef de Bataillon FROT.

Les chefs de Corps ont été, 

1934 : Lieutenant Colonel Vermenouze Alphée
De 1935 à 1937 : Colonel Dame pierre
Septembre 1937 à Aout 1939 : Colonel Andrei Gaëtan


De 1939 à 1940 : Lieutenant colonel Anzemberger Etienne
Le Colonel Anzemberger prendra le commandement du 8e Zouaves pendant les deux années de Guerre. 











Mobilisé le 3 Septembre 1939 par le C.M n°64 à Mourmelon le Grand (Marne) 6ème Région Militaire, le 8ème zouaves est affecté à la 12ème D.I.M (division d’infanterie motorisé). Il est rattaché au dépôt d’infanterie n°64 de la 6ème Région.

Composé de 3 bataillons, 1 CRME, 1 C.R.C, 1 compagnie motos, 1C.H.R, Il a pour effectifs, 80 Officiers, 350 sous-officiers, 2600 zouaves.

La 12è C.D.A.C, issue du 8è Zouaves sera rattachée à la 12è D.I.M pendant la guerre.


Voici un extrait du Journal des opérations de septembre 1939 à Mai 1940.

27/08/1939
Départ de Mourmelon pour Coucy le Château (Aisne), Du 28 aout au 4 septembre, Séjour dans la région de Coucy le château 

      04/09/1939
Retour au camp de Mourmelon,  Du 4 septembre au 10 septembre : Mouvement vers la frontière du Luxembourg

05/09/1939
Déplacement vers Ambrières (région Saint Dizier) Haute-Marne

06/09/1939
Déplacement vers Essey, Flirey (région du nord de Nancy) Meurthe et Moselle.

7/09/1939
Du 11 au 14 septembre, Relève d’éléments de cavalerie devant Kirsch Les Sierck, rectification d’avant-postes. 

Déplacement vers Thionville et prend position à la frontière Franco-allemande, Combat sur la frontière (Sierck) pendant le mois de septembre.
La compagnie moto est arrivée le 10 septembre 1939 à Sierck. En fin de journée les deux bataillons de 1er échelon se déployaient, la tête entre Hunting et Kerling. Par conséquent, c’est le 8 et non le 4/09/1939 que le 8ème Zouaves a quitté Coucy le château.

Le 1er échelon était composait du I/8 à gauche et II/8 à droite.

Le 14 septembre 1939
Le I/8è RZ prenait le Hammelsberg tandis que le II/8è RZ filait sur le Schneeberg.

Marche en avant, le 8ème Zouaves enlève brillamment  le SCHNEEBERG et le HAMMELSBERG. Organisation du sous/secteur – travaux


Le 17 septembre 1939 (nuit du 17 au 18)
Tandis que la 3ème D.I.N.A montait en ligne à notre droite, le 106è R.I  prenait  le sous-secteur d’Apach et le bataillon Favriau  était relevé.



28 septembre 
Enlèvement du bois 381 par le 8ème Zouaves dans une opération rapide et dure, une contre-attaque ennemie échoue.  Pour l’attaque du 28 sur le bois d’Oberperl et la cote 391, le 8è Zouaves (bataillon Quatrecoup) et le 106ème RI devaient attaquer chacun avec un bataillon de 3ème Echelon.

On peut déduire que le III/8è RZ (bataillon Vallot) est demeuré en arrière et que le bataillon Favriau s’est contenté de se resserrer sur sa droite.
 

30/09/1939
Retour en réserve sur région de Thionville.

 Du 9 octobre au 20 novembre,
Séjour dans la région de Vailly.  Réserve G.Q.G sur région Vailly/Aisne, sud de Laon.
 

Du 22 novembre au 18 janvier
Travaux dans le sous/secteur de SARS-POTERIES – (Solre le château, Sobunnes).

Du 18 janvier au 10 mai
Gagne la région Nord Est de Saint Quentin pour poursuivre son instruction des réservistes et actifs.

Séjour dans la région de MONTBREHAIN.

10 Mai 1940.
A la suite de l'invasion de la Belgique et de la Hollande par les Allemands, le 8è Zouaves se déplace vers la Belgique pour se positionner sur la ligne Bruxelles -Namur et s'installe à Temploux .

 
extrait du JMO du LCL ANZEMBERGER, Commandant du 8è Zouaves



Du 12 Mai au 4 juin 1940, le 8ème Zouaves a effectué une retraite d’environ 370 km, par étapes allant jusqu’à 60 km en 24 heures, il a tenu successivement


·         Le sous/secteur de BOVESSE (pont de la Dyle)
·         La position de l’ORNEAU (I/8è Z couverture de repli de la Division)
·         La boucle de la SAMBRE (mission de sacrifice)
·         La région de CIPLY  (protection flâné de l’ARMEE)
·         Le sous/secteur de BACHY BOURGHELLES (liaison avec les Anglais)
·         Le ruisseau de MARCQ (liaison avec les Anglais)
·         Le sous/secteur de BRAY DUNES (mission de sacrifice)


Pressé par l’ennemi et bombardé en cours de mouvement, attaqué sévèrement en position, le 8è Zouaves n’a jamais cédé un pouce de terrain sans ordres et ce n’est qu’aux heures et dans les conditions prescrites qu’il a quitté ses emplacements. Désarmé pour embarquer le 31 Mai 1940, il a pu se réarmer et s’approvisionner largement sur place pour défendre la tête de pont de DUNKERQUE jusqu’au 4 juin.
Dans cette mission de sacrifice, il s’est encore vaillamment battu bien qu’ayant supporté 20 jours d’une retraite, pendant la quelle le ravitaillement fut bien imparfait.
Malgré les replis successifs, malgré les fatigues, malgré les bombardements incessants d’aviation ou d’artillerie, le 8ème Zouaves s’est partout présenté en ordres, à l’heure et à l’emplacement indiqués, le moral des Zouaves restant excellent quelle que soit la situation et jusqu’au dernier moment.
Si le régiment a été en entier fait prisonnier, il l’a été sur la jetée d’embarquement où il se trouvait par ordre, au moment où il ne pouvait plus se défendre et espérait aller combattre ailleurs.
Les zouaves de 1939-1940 ont été dignes de leurs anciens de 1914-1918, ils ne peuvent avoir honte de leur captivité.
Rédiger en Captivité le 25 Septembre 1940
Le Lieutenant-colonel ANZEMBERGER -  Commandant du 8ème Zouaves 
Signé : ANZEMBERGER
le 4 juin 1940, le 8è Zouaves est fait prisonnier avec le restant de la 12è D.I.M sur les plages de Dunkerque, suivra alors de nombreuses années de captivité pour les Zouaves.


mercredi 28 août 2013

Historique du 8e Zouaves (1919-1933)

 
 
Le régiment quittant le Palatinat (il y était en occupation, depuis la mi-novembre 1918), grand branle-bas ,  pendant la première dizaine de juillet, tant au bureau du colonel que dans ceux des compagnies, pour préparer les départs :

·         Vers Soissons (pour y être démobilisés), des zouaves appartenant aux classes 1915 et plus anciennes
·         Vers l’Algérie (Oran et Nemours), des Zouaves « classes 1916 à 1919 » formant le nouveau effectif du 8e  Zouaves.
·         Vers Paris, des Zouaves désignés à la compagnie d’honneur du défilé de la victoire
 
 
A Paris, le 14 juillet 1919, une compagnie du régiment prend part au grand défilé de la victoire, avec son drapeau décoré de la veille de la croix de la légion d’Honneur par le président de la république.
Le régiment embarque à Marseille sur le « Général Gallieni »  et le 20 débarque à Oran pour y tenir sa première garnison.
 
Les chefs de corps seront
 
Jusqu’en novembre 1919 : Lieutenant Colonel Lagarde
De Novembre 1919 à 1921 : Lieutenant colonel Batton
De 1922 à 1923 : Lieutenant Colonel Bolcain
De  1924 à 1925 : Colonel Rousseau
En 1926 : Colonel Pichot-duclos
De 1927 à 1929 : Colonel Nicolas
De 1930 à 1931 Lieutenant colonel puis Colonel Bonnefont
De 1932 à 1933 : Colonel Cloitre

il participe à la campagne du Maroc (guerre du RIFF ) de 1925 à1926
 
Dissous le 1er Novembre 1933 pour devenir le 2ème Régiment de Zouaves

 

Colonel CLOITRE , Chef de Corps du 8è Zouaves de 1932 à 1933

Sergent OBERLE Gauthier,

Mourmelon le Grand - Classe 1937 - 2ème Cie  /  C.A 1